Avec Mme Maurel-Halley (3°2) et Mme Petteni (3°3)
Fiche objet d'étude: Sunday Bloody Sunday de U2.
Pour réviser: Sunday bloody sunday
Avec Mme Maurel-Halley (3°2) et Mme Petteni (3°3)
Fiche objet d'étude: Sunday Bloody Sunday de U2.
Pour réviser: Sunday bloody sunday
Avec Mme VINGATARAMIN-CENCIGH: classe de 3e4 et 3eme3,
Chanson de Boris VIAN
Objet d'étude: La complainte du progrés
Objet d'étude: l'affiche rouge
Objet d'étude: Staline, héritier de Lénine
Objet d'étude: Supermarket Lady
Avec Mme Vingataramin-Cencigh,
Avec Mme Vingataramin-Cencigh,
Objet d'étude Primo levi "Si c'est un homme"
Mme Morvan, Mme Sanjuan et Mme Plaza (3°1-3°4-3°6)
Fiche objet d'étude, bientôt en ligne
Mme Morvan (groupes 3°1-3°4-3°6)
Autoportrait / Autoretrato-Frida Khalo
Fiche objet d'étude, bientôt en ligne
"Plaisance-du-Touch. Un show irlandais au collège Jules Verne
Les élèves acteurs en compagnie des artistes./Photo DDM, C. C.
Dernièrement, tous les élèves de quatrième du collège Jules Verne ont eu le plaisir d'accueillir la troupe de théâtre irlandaise « Emerald Isle Theatre Company » (EITC) pour la représentation de leur pièce « The Big Challenge » Pour la deuxième année consécutive, le collège invite ces acteurs irlandais à venir présenter une pièce de théâtre « in English of course ! »
Ce fut, une fois encore, un grand succès. Les élèves ont apprécié l'humour et l'énergie de ces jeunes acteurs et leur satisfaction fut à son comble lorsqu'ils ont réalisé qu'ils étaient capables de comprendre presque totalement le contenu des textes. Parmi eux, seize élèves, se sont glissés dans la peau de personnages, ont appris leurs textes et répété leurs rôles.
Ils ont eu, ensuite, un grand plaisir à les jouer sur scène avec les acteurs. Ce fut une expérience enrichissante pour l'ensemble des spectateurs et les professeurs d'anglais espèrent renouveler ce projet l'année prochaine."
lien vers le site de « Emerald Isle Theatre Company » (EITC)
Trois thèmes au collège Jules Verne:
-"Arts, ruptures et continuités":
Les arts et les évolutions de la société.
-"Arts, techniques et expressions":
Autoportrait/autobiographie : témoignages de la réalité ?
-"Arts, Etats et pouvoir":
Les artistes : porteurs de la propagande d’un état ou contre-pouvoir
Voir les objets d'étude par classes.
Avec Mme Maurel-Halley (3°2) et Mme Petteni (3°3)
-"Arts, Etats et pouvoir":
les artistes : porteurs de la propagande d’un état ou contre-pouvoir?
"Sunday bloody sunday" de U2
Travail à partir des photos prises ce jour-là.
Description d’images.
Être capable de raconter une suite d’événements à partir d’images
voir la vidéo du démontage de l'oeuvre de Ukolov, Printemps de septembre
et l'expo de l'artiste Printemps-de-septembre
Avec Mme Blanc - 3°4 section euro
"Description de l’œuvre
A propos de son œuvre, Edvard Munch écrit :
« Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers et déchirait la Nature. »
Au premier plan, titubant contre la balustrade d’un pont qui domine la mer soulevée comme par un spasme, un être hagard se serre les tempes à deux mains et crie sous un ciel sanglant. Dépourvu de cheveux, les traits émaciés et le teint cadavérique, le personnage qui nous est donné à voir semble avoir été totalement déshumanisé par l’artiste. Silhouette fantomatique tout de noir vêtue qui ondule et flotte dans les airs, est-ce véritablement un être humain à part entière qui est représenté ici ou bien la représentation d’une âme tourmentée, voire, osons le mot, aliénée ? De même, l’expression de stupeur qui habille ses traits n’est-elle pas l’empreinte de la mort qui étend ses longues griffes sur une âme de malheur et lui arrache un cri d’agonie, aussi brusque et saisissant qu’un fracas de cymbales ?
Deux ombres s'éloignent dans le lointain, leurs hauts-de-formes sur la tête, abandonnant le personnage principal – qui n’est autre que le peintre lui-même si on en croit la note associée à l’œuvre – sur le ponton qui surplombe un fjord, avec à droite, un vertigineux précipice. Enfin, on distingue en arrière plan des montagnes d’un bleu sombre qui, par contraste, se détachent du rouge ardent du ciel. "
lire l'article en entier avec HISTOIRE DES ARTS ROMBAS